De la Thuile au Grand Paradis, trek avec mule réalisé en 2006 par Blogmontagne. . .: Récit des 7 étapes de la traversée du massif du Grand Paradis (avec la musique de fond)..
~ Départ de la Thuile, au pied du Petit Saint-Bernard, passage d'un col à +3000 jusqu'au célÚbre refuge Victor-Emmanuel II au pied du Grand Paradis, METTEZ le son ~
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Récit des 7 étapes de la traversée du massif du Grand Paradis (avec la musique de fond)..


Suite à des remarques reçues d'internautes qui me demandent de mettre un peu mon grain de sel dans ce récit... Tu le retrouveras (mon grain de sel) à certains endroits, il sera écrit en orangé comme ici, et entre des étoiles *** afin de le localiser facilement, si tu as déjà lu ce sujet !!!
GUIDES : ERIC et FABIEN (Muletier et conducteur du minibus) MULE : Caféine dite Fifine
Randonnée organisée par le Groupe CAIRN de SAMOENS

  • 1Ăšre Ă©tape: Samedi 15 juillet 2006
Rendez-vous a Ă©tĂ© fixĂ© pour 11 h Ă  La Thuile, petit village sous le col du Petit St Bernard oĂč l’on retrouve les copains et les guides.
Nous montons en minibus au ? Fourg, lĂ  nous faisons connaissance avec Fifine et faisons le transfert de nos sacs de rando.
Nous dĂ©jeunons sous les arbres en bordure d’un agrĂ©able ruisseau et dĂ©part pour la grande balade. MontĂ©e jusqu’aux cascades du Ruitor puis lente ascension (1000 mĂštres) jusqu’au
refuge Deffeyes (2492 m).
Le refuge est situĂ© sous le glacier du Ruitor. Refuge rustique ; il faut laisser les sacs en bas. Un dortoir uniquement pour l’équipe (pas de ronfleur). Douche Ă  5 € avec eau froide pour certains. Du coup on se lave au lavabo.
Le patron est sympa, sauf quand on parle de Materazzi. Au repas : minestrone ou pĂątes - cerf - polenta - flan Ă  la vanille.
Lever prévu à 5 h 30 ! ! !
  • 2Ăšme Ă©tape: Dimanche 16 juillet 2006

DĂ©part Ă  7 h – MontĂ©e d’1 heure 30 au Passo Alto (altitude ?), sans problĂšme puis l’enfer de la descente dans la caillasse. Pour Ă©viter le nĂ©vĂ©, on prend par les rochers. Mone est scotchĂ©e au sac d’Eric et marche en tĂȘte. On dĂ©cide d’attaquer la montĂ©e sur le col de Crossan ? de l’autre cĂŽtĂ©, avant le dĂ©jeuner car on a pris beaucoup de retard et Mone peine. AprĂšs une petite pause et remplissage des gourdes sur un chantier, Eric change donc le programme : au lieu de remonter 800 m et redescendre 1000 m dans les pierriers, on rejoint la vallĂ©e oĂč Fabien nous rĂ©cupĂ©rera avec le minibus d’autant plus que le temps a l’air de changer.
Descente de 400 m dans les mĂ©lĂšzes avec quelques gouttes de pluie avant de retrouver Fabien. Le 1er groupe part en minibus et les autres (Eric – Maurice – DĂ©dĂ© – Jean – Nicole – Samy et moi) nous descendons Ă  pied sans nos sacs et on se ramasse une bonne douche, de plus nos pĂšlerines sont parties avec le minibus.
ArrivĂ©e Ă  l’hĂŽtel Paramont vers 17 h 30.
Bel hîtel confortable avec WC et douche qu’on n’a pas su faire marcher, (1500 m d’altitude). Biùre sur la terrasse (4 pour Christian qui ne supporte pas, est malade et doit se coucher).
Au repas (sans Christian) : petite salade de jardin – Tortellini aux Ă©pinards dĂ©licieux – veau – pommes de terre sautĂ©es – mousse au citron. DĂ©dĂ© offre le mousseux pour son anniversaire.
Les copains vont porter des seaux à Christian avec des mines d’enterrement.
Rosy a mal à l’Ɠil, Nicole aux jambes, Mone partout.
Coucher Ă  21 h.

***Cette annĂ©e, petite innovation, pour le rĂ©veil, nous avons droit au coq chantant
 Une merveille de technologie que Maurice nous fait partager rĂ©guliĂšrement et sans mĂ©nagement car figurez-vous que ce bougre de coq se rĂ©veille Ă  n’importe quelle heure et mĂȘme plusieurs fois dans la nuit et connaissant son propriĂ©taire, l’objet n’a qu’à bien se tenir sous peine de se retrouver par la fenĂȘtre !
Ce que je ne vous ai pas dit, c’est que le poulailler du coq est un tĂ©lĂ©phone portable rĂ©cent que Maurice ne maĂźtrise pas encore parfaitement et qu’il faut instrumenter pour en changer les paramĂštres
 Hors, comme il est nouveau (le tĂ©lĂ©phone) v’lĂ  que Maurice ne connaĂźt pas par cƓur le code PIN qui, du coup, ne peut-ĂȘtre changĂ© 
 Nous subirons les sarcasmes du roi de la basse-cour jusqu’à ce que vint Ă  l’idĂ©e de son proprio d’en retirer les piles. Comme quoi, t’as beau ĂȘtre ingĂ©nieur en informatique, si t’as pas le p’tit binbin qui coupe le courant, t’as l'zinzin qui te claironne toute la nuit, dans les portugaises !



  • 3Ăšme Ă©tape: Lundi 17 juillet 2006

Petit dĂ©jeuner Ă  7 h 30 et montĂ©e en minibus jusqu’au Revers. DĂ©part de la colonne Ă  9 h. Grimpette sympa sous les mĂ©lĂšzes et Ă  travers les alpages. Pause minute prĂšs d’une ferme tenue par des marocains et un peu plus loin croisĂ©e d’un grand troupeau. On prend le temps de photographier des lys martagon. DĂ©jeuner sous les mĂ©lĂšzes dont un a Ă©tĂ© foudroyĂ©. (salade de thon – maĂŻs – champignon – soja extra).
Nous continuons par une marche en balcon qui n’en finit pas. ArrivĂ©e au refuge de l’EpĂ©e Ă  18 h, heureux de retrouver Fifine.
Refuge sympa tout en longueur tenu par deux frĂšres. Il y a mĂȘme un sĂšche cheveux, on en profite pour se faire belles mais les WC Ă  la turque sont terribles pour les cuisses (Altitude : 2370m).
Au menu bombance : pĂątes – potage – bƓuf braisĂ© – purĂ©e – ratatouille – fromage – flan vanille avec chocolat.
Jacky dĂ©cide de faire un break demain avec Mone et AndrĂ© car l’étape doit ĂȘtre rude.
Coucher Ă  9 h 15.
  • 4Ăšme Ă©tape: Mardi 18 juillet 2006

Petit dĂ©jeuner Ă  6 h 30 – dĂ©part Ă  7 h 30 au pas de course jusqu’à 9 h. Il faut suivre le rythme, mais le chemin sera long. Passage du col ? et on repart en direction du col de Bassac DerĂ© ( 3082 m). Cinq glaciers nous entourent (dont la Grande SassiĂšre – la Goletta, la Gliaireta). Le col est encore trop loin, on ne pourra l’atteindre avant le dĂ©jeuner, on s’arrĂȘte donc 1 h 30 pour dĂ©jeuner au bord d’un torrent dont les rives sont parsemĂ©es de serpentines. Au menu : taboulĂ©, saucisson – tomme – pomme.
On redĂ©marre Ă  14 h pour atteindre le col Ă  15 h 30. Certains passages sont scabreux et la montĂ©e n’est pas facile.
La descente de l’autre cĂŽtĂ© se fait dans les nĂ©vĂ©s ; le premier nĂ©vĂ© est long et assez dangereux, de plus certains se souviennent des accidents survenus l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente au tour du Mont Rose. Eric en profite pour nous apprendre la descente en ramasse. Pierrot et Rosy se soutiennent l’un, l’autre. La descente se fait ensuite dans la caillasse. On voit le refuge Benevolo tout petit avec ses volets rouges, au loin tout en bas ; les derniers mĂštres sont trĂšs pĂ©nibles pour les genoux. Nous admirons les edelweiss qui foisonnent et sommes accueillis au bas de la descente par une armada de marmottes, certaines se font des bisous.
ArrivĂ©e au refuge de Benevolo (2285m). ***Refuge trĂšs rustique et exigu. Un point d’eau avec 2 robinets***. Dortoir alvĂ©ole pour 6 avec trois niveaux ; Rosy dort tout en haut et Fabien rĂ©cupĂšre la derniĂšre couche. Si ça flambe, on cuit comme des rats.
Au menu : potage – pĂątes – bƓuf braisĂ© et petit pois – tiramisu.
Coucher Ă  9 h 15

***(Refuge trĂšs rustique et exigu. Un point d’eau avec 2 robinets.) Comme le dit notre “Tata” nationale, un point d’eau avec 2 robinets, nous dĂ©cidons donc avec Christian et Pierrot d’aller nous laver dans le torrent proche du refuge et que nous avions repĂ©rĂ© lors de la descente vers Benevolo ! Nous voilĂ  partis avec trousse de toilette et serviette, faire une petite sĂ©ance de strip-tease
 Heureusement hors du regard des autres randonneurs puisqu’en contrebas
 nous voilĂ  Ă  poil, prĂȘts Ă  mettre un pied dans l’eau
 Ouilllllllllllllllle



 Qu ‘elle est froide, j’avais l’impression que mes dents allaient dĂ©gringoler au fond et du coup l’escargot rentra dans sa coquille et n’en ressortit pas 
 ce qui fait que la toilette fut encore plus rapide. Chacun de nous trois “yeutait” pour voir si le bigoudi de l’autre avait la mĂȘme tronche que le sien !!! Bref, en rentrant au refuge, on raconta notre histoire qui fit bien rire les autres
 Mais aprĂšs une telle sĂ©ance, on “bouillait” comme des faitouts et on s’acharna sur le pinard qui disparu aussi vite que neige au soleil !!! Autant dire qu’on Ă©tait un peu fait pour retrouver notre plumard. Je me souvenais m’ĂȘtre installĂ© au 3Ăšme niveau, tout au dessus, moi qui d’ordinaire grimpe comme un cabri, il me fallut un temps pas possible pour retrouver ma couche et m’enfiler dans mon sac Ă  viande, par contre, l’endormissement fut fulgurant et dura jusqu’à l’heure du rĂ©veil.***
  • 5Ăšme Ă©tape: Mercredi 19 juillet 2006
Lever à 6 h 30 pour départ à 7 h 30.
On monte bien lentement jusqu’au bas du Col RossĂ© (3010 m). GrimpĂ©e du col en 1 h 30, pas facile surtout sur le pierrier. Mone a trĂšs peur et verse sa larme.
La descente est acceptable. On mange en bas au bord d’un lac. AndrĂ© prend un bain pendant qu’Eric remonte au col au pas de course pour faire des photos.
Au menu : tomates, jambon aux herbes extra – Gorgonzola dĂ©licieux – yaourt - chocolat . Et on repart tranquillement en direction du refuge mais vraiment tranquillement puisqu’on a le temps de faire une sieste d’une heure au bord d’un lac glaciaire. Des linaigrettes en pagaille bordent le lac et des truites filent de tous cĂŽtĂ©s. L’endroit est superbe, c’est une succession de lacs et on voit au loin le Grand Paradis.
ArrivĂ©e au refuge Savoia Ă  17 h 30 (2534 m). Rosy et moi partageons une chambre avec Jean et Nicole tandis que Jacky dort en face avec Christian – Maurice et Sam.
La salle à manger est pimpante avec des nappes bleues à fleurs jaunes, guitare au mur et photos d’un disparu ?
Le repas est exquis : petites salades extra et charcuterie (haricots en salade comme les prĂ©parait ma mamma) – polenta con fontina et bƓuf braisĂ© – fromage – desserts variĂ©s.

  • 6Ăšme Ă©tape: Jeudi 20 juillet 2006

Lever 6 h45 - DĂ©part Ă  8 h 30 – La premiĂšre partie est agrĂ©able et on prend quelques photos des muletiers improvisĂ©s, des marmottes, des coprins chevelus, 
Puis on amorce un chemin difficile oĂč il faut dĂ©batter la mule. On porte donc nos sacs et dur, dur, il fait trĂšs chaud. On est descendu de 500 m. Fifine rencontre son copain Oscar.
ArrĂȘt pour dĂ©jeuner sous les mĂ©lĂšzes au Pont, puis cafĂ© ou boisson au bar ,car il fait trĂšs chaud. On repart au pas de sĂ©nateur en direction du
refuge Victor Emmanuel (2735m) oĂč l’on arrive Ă  16 h 30. (On a mis 2 h 30 au lieu des 2 h 15 annoncĂ©es). AndrĂ© est montĂ© comme un chef ! Quelques gouttes arrosent notre parcours et sur le chemin, on rencontre des gens de Valdoie (les Dro) qui vont en sens inverse.
Le refuge situĂ© sous le glacier du Ciaforon (glacier pourri d’aprĂšs Eric) a une forme bien particuliĂšre, on dirait une gare. Notre dortoir se situe un peu plus haut. Il y a exactement 13 places. Toilette au lavabo avec une eau trĂšs froide. Certains peuvent admirer les bouquetins qui viennent prĂšs du refuge.
Il y a beaucoup de monde au refuge, donc deux services pour le repas. Au menu : Minestrone – PurĂ©e – BƓuf en sauce – Flan chocolat ou salade de fruit. Le pain a au moins 10 jours et est dur Ă  avaler.
Coucher Ă  9 h 15 et on se fait «engueuler » parce qu’on fait du bruit.
Dehors il pleut, grosse averse.


*** Comme on arrivait presque au terme de ce pĂ©riple, et qu’il y avait encore des ″ chevaux sous le capot, je dĂ©cidai donc, lorsqu’on fut en fond de vallĂ©e, de m’éclater un peu les tripes dans la montĂ©e
 Chose que je ne fais jamais lorsque mon Ă©pouse m’accompagne, me voilĂ  donc Ă  grimper les premiers lacets assez rapidement, de l’ordre de ≈ 500m Ă  l’heure puis Ă  ralentir et re accĂ©lĂ©rer pour mettre la cocotte en pression jusqu’à ce que la soupape se mette Ă  tourner. Arriver au rythme de rĂ©sistance douce, celui de croisiĂšre, me voilĂ  parti Ă  l’asseau des quelques 772 m de dĂ©nivelĂ© qui nous sĂ©parent d’Emmanuel II, autant te dire que ça sentait le caoutchouc brĂ»lĂ©, car j’ai dĂ» avaler çà en un peu moins de 1h 1/2, je voyais se rapprocher les gros rochers se trouvant devant le refuge que je n’ai vu que presque arrivĂ©, au passage, j’ai dĂ» doubler une bonne cinquantaine de poilus qui devaient bien se demander oĂč j’allais Ă  cette allure lĂ  ??? Bref, arrivĂ© au-dessus, une bonne vingtaine de minutes avant tout le monde, j’ai eu le temps de boire une biĂšre offerte par un randonneur que nous avions rencontrĂ© prĂ©cĂ©demment et qui n’en revenait pas que je sois dĂ©jĂ  arrivĂ© et qui croyait que j’avais empruntĂ© un raccourci !!! ″ ***

  • 7Ăšme Ă©tape: Vendredi 21 juillet 2006

Petit dĂ©jeuner 6 h 30 – DĂ©part 7 h 30.
Au dĂ©part, descente pas trop raide, il fait frais. On tombe sur un troupeau de chamois (+ de 40 bĂȘtes). On observe Ă©galement des cordĂ©es qui font l’ascension du Grand Paradis. AprĂšs la traversĂ©e de quelques pierriers, on entreprend une descente interminable sur un chemin muletier.
La fin du chemin est un ouvrage d’art. Il y a d’ailleurs des ouvriers qui y travaillent.
Les genoux commencent Ă  se faire sentir.
ArrivĂ©e en bas Ă  12 h 30. Fabien nous attend ; il a prĂ©parĂ© le repas que nous prenons sous les mĂ©lĂšzes. Au menu : salade de haricots verts – maĂŻs – olives – salami – tome – pommes et une bouteille de vin pour arroser le tout ;
L’averse nous surprend Ă  la fin du repas et c’est l’envolĂ©e de toutes parts ; nous sortons les pĂšlerines pour la premiĂšre fois. 1140 mĂštres de descente et 360 m de montĂ©e pour la journĂ©e.
Notre taxi bus nous rĂ©cupĂšre Ă  14 h et arrivĂ©e Ă  La Thuile Ă  15 h 15 oĂč l’on prend un dernier pot.
Le long de notre pĂ©riple, nous avons traversĂ© les vallĂ©es de Grisenche, de RhĂȘme et de Savarenche, qui sont perpendiculaires au Val d’Aoste.

Nous partons en direction de Tignes, les autres rejoignent Belfort. On apprendra en fin de journĂ©e qu’AndrĂ©, Mone et Rosy ont suivi Christian qui a confondu GĂȘnes (Genova) et GenĂšve ! ! !

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8 commentaires:

Anonyme a dit


Coucou J€@n-Cl@ud€.... me revoilou ... J'ai pris un peu de retard ces derniers temps mais je compte bien le rattraper.... ;) Et compte sur moi pour revenir le plus souvent possible... une bonne bouffĂ©e d'air pur n'a jamais fait de mal Ă  personne et ça... ça m'a manquĂ© pendant quelques mois. J'ai encore quelques minutes pour continuer la lecture et rĂȘver Ă  travers tes photos ......
Amitiés Bisous
Sylvie ;)

Anonyme a dit


Magnifiques photos à travers le Grand Paradis. Je comptais m'y ballader début juillet mais aprÚs avoir lu ce récit je n'ai plus aucune hésitation. félicitations pour ce blog trÚs plaisant à lire!

Blogmontagne a dit


Message à l'attention de l'anonyme du 05 février
Bonjour et merci pour ton message et tes éloges, je ne peux te remercier en particulier puisque tu ne m'as pas laissé de quoi le faire, cependant si tu veux quelques renseignements concernant ce secteur, clique sur "CONTACT" dans le bandeau droit du blog et écris moi ! Merci à bientÎt.
Montagnement vĂŽtre.
JC

Caro du Jallouvre a dit


ça a l'air magnifique ! un peu fatiguant, l'heure du réveil le matin... ;p mais magnifique d'aprÚs les phtotos ;)

Marie-Aleth LAMY a dit


Je dĂ©couvre ,ce site et Le Grans Paradis lui-mĂȘme .
Magnifique .
Merci Jean-Claude.
bien amicalement .
marie-aleth,montagnarde des Pyrénées mais pas que !

Blogmontagne a dit


Bonjour Marie-Aleth,
Je ne sais pas par quel moyen tu es arrivée là, je te remercie pour ton passage et ton commentaire, mais il y a également plein d'autres sujets de ce genre sur Blogmontagne...

Patricia a dit


Jean-Claude tu es un sacrĂ© personnage, le Ruitor j'ai falli le faire en 2004, mais ça Ă©tait annulĂ©e 🙏un grand merci pour les partages et tes expĂ©riences un rĂ©gal, bonne journĂ©e Ă  toi

Patricia a dit


Cc Jean-Claude merci, un bel récit tu es un sacré personnage, merci pour les partages,sur la Haute montagne

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